A la barre , Ndeye Fatou Fall déclare : « On a failli être tuées à deux reprises, et les visites et appels nous étaient interdits. Le seul moyen que j’avais pour me libérer c’était d’écrire, c’était ma thérapie. J’ai écrit une note pour me libérer et non une correspondance. D’ailleurs je l’ai déchirée la nuit. Elles ont recollé ce brouillon pour dire que c’était une tentative de sortie irrégulière . Mr le Président, la feuille dama ko khoti damako bokhom c’était une poubelle et non une correspondance ».

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